Economie

«  Avant de répartir, il faut produire » aimait à répéter Georges Frêche.

 

A gauche, dans les années 70, l’idée chagrine… Elle lui vaut quelques inimitiés tenaces et quelques apostrophes blessantes. Mais là, comme en beaucoup d’autres domaines, Georges Frêche a vingt ans d’avance.

Lorsqu’il accède, en 1977, à la Mairie de Montpellier, la première crise pétrolière sévit depuis quatre ans et le chômage n’en finit plus de croître.

Il a vite compris que les « trente glorieuses » sont finies. Dès lors, la politique économique qui accompagnera son ambition de croissance pour Montpellier puis pour la Région, reposera sur des principes clairs et novateurs en matière de développement territorial, sur la prescience de l’importance qu’allait revêtir la connaissance et l’immatériel dans l’économie de demain et surtout, sur beaucoup de pragmatisme.

Qu’il s’agisse d’agriculture, de tourisme, ou bien entendu de l’industrie et des services, son propos conserve une cohérence et une pertinence égales.

Dans tous ces domaines, Georges Frêche arrive avec des idées percutantes.

 
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Lors d'un voyage en Chine, Georges Frêche rencontre Deng Xiaoping dirigeant de la République populaire de Chine et pose des prémisses d'accords économiques.