Danse et Cinéma

L’aventure culturelle de Montpellier débute là où on ne l’attend pas, avec le septième art.

Ainsi, c’est sur Pierre Pitiot que Georges Frêche s’appuie pour porter le premier festival montpelliérain sur les fonds baptismaux : le festival du cinéma méditerranéen. Idem un an plus tard, en 1979, quand Georges Frêche rencontre Dominique Bagouet, à l’occasion d’une tournée des Jeunesses Musicales de France, il parie sur ce jeune artiste plein de talent. Et lui propose d’installer ce qui deviendra le futur centre chorégraphique national au théâtre municipal (l’actuel Opéra Comédie).

Quelques mois plus tard, en juin 1981, le premier festival Montpellier Danse vient réveiller la ville en été.

L’essor culturel de Montpellier débute ainsi loin des sentiers battus avec la danse contemporaine. Le soutien de Georges Frêche à la danse ne se démentira jamais, poursuivant son élan avec Jean-Paul Montanari à Montpellier Danse puis avec Mathilde Monnier au Centre Chorégraphique.

Trente ans après, la danse contemporaine continue de secouer la ville avec l’inauguration en 2010 d’une structure unique en Europe : l’Agora, cité internationale de la danse, installée dans l’ancien couvent des Ursulines.