Quelques messages choisis au hasard des milliers de mots, témoignages et lettres écrits suite au décès de Georges frêche, survenu le 24 octobre 2011

 

Aller à l’idéal, en passant par le réel.

 

La statue immense qu’on te doit sur la place des Grands Hommes portera à jamais son ombre sur ces messieurs dames des beaux quartiers.

 

Honneur à l’Homme grand, visionnaire, bâtisseur, et père du peuple.

 

Fils de réfugiés espagnols, je vous remercie pour tout ce que vous avez fait pour ces combattants de notre chère république.

 

A un constructeur et un humaniste qui a œuvré sans relâche pour Montpellier et sa région, qui a soutenu la culture et la lecture publique jusqu’aux plus démunis.

 

Un grand homme de gauche, un grand bonhomme nous a quittés. Que sa pensée et son œuvre survivent et fassent des exemples.

 

Merci pour ce que vous avez été, pour cette force que vous transmettiez, cette immensité d’esprit. Vous avez œuvré pour être et non pour avoir. Cette rareté vous honore.

 

Quelques instants après votre envolée vers d’autres atmosphères, le tonnerre a éclaté, les éclairs ont déchiré les nues et le ciel a pleuré.

 

On dit que les vivants ferment les yeux des morts, mais que les morts ouvrent ceux des vivants.

 

Où que tu sois, Georges, ouvre leur les yeux. Je t’embrasse.

 

Pour toute l’énergie, l’intelligence et la générosité offerte à ton peuple.

 

Profondément républicain, viscéralement socialiste, homme de culture, être visionnaire et entreprenant, tribun charismatique et malicieux qui chaussait parfois de gros sabots pour bousculer les engourdis : c’était Georges Frêche.

 

Merci camarade. Merci d’avoir existé. Grâce à toi, nous sommes fiers d’être du Languedoc.

 

Vous avez tant fait pour nous. Nous vous devons tant. Nous ne pourrons jamais vous restituer le bonheur que vous nous avez donné.

 

Monsieur Frêche était capable de se mettre à la hauteur des plus instruits de ce monde mais aussi à la portée des plus humbles de sa ville et de sa région.

 

Georges, tu as embelli la ville et surtout nos vies. Tu as été le grand homme d’en bas, et maintenant, tu es allé rejoindre le grand homme d’en haut. La Communauté gitane de Montpellier

 

On s’est rencontré un fois, par hasard, au stade. Vous m’avez parlé. Je n’oublierai jamais votre gentillesse et votre écoute.

 

Nous ne te suivions pas comme des moutons mais parce que tu étais le meilleur d’entre nous.

 

Les mots sont trop petits pour un homme aussi grand. Un grand merci.

 

Une étoile de plus aux côtés de Jaurès, Blum, Mendès France. Tu vas enfin pouvoir discuter avec eux.

 

Emotion et hommage à un homme qui s’est consacré au mieux-être du peuple et donne envie d’être socialiste.

 

Fiers d’être Montpelliérains depuis 4 générations. Enfin tu vas pouvoir discuter avec des hommes de ta trempe.

 

Georges ne faisait pas qu’aux grands, il faisait également beaucoup pour les petits, mais toujours dans l’ombre. Merci…

 

Merci Président, votre action, votre honnêteté, votre acharnement à faire de Montpellier une vraie ville du XXIème siècle ne peuvent susciter qu’admiration et reconnaissance.

 

Merci au professeur de fac, merci pour tes coups de gueule, merci pour ton engagement au service de tous.

 

Le peuple languedocien n’oubliera pas ce que tu as fait pour lui. Humaniste, tu es digne de la grande tradiition occitane.

 

Née en 1984, j’ai grandi avec toi, georges. Tu étais un guide, une lumière.

 

Un grand homme, un vrai socialiste, un grand militant, un grand exemple pour nous tous.

 

Gran personolidat en nestra Region y de talla nacional que dara grabado en la mente de los Montpellierias.

 

En changeant ta ville, tu a changé nos vies. Tu nous as entraîné dans tes rêves. Partout ici, tu laisses ta trace, jusque dans nos cœurs. Merci Georges.

 

Quand une étoile s’éteint, sa lumière continue de vibrer pendant les millénaires. Georges frêche, vous avez été utile à la société.

 

Adieu Monsieur le président. Là où vous serez, vous ne rencontrerez plus de gens mesquins et minables. Soyez en paix, vous allez être accueilli comme un roi.

 

L’histoire gardera le souvenir d’un grand homme de gauche, d’un socialiste debout et d’un humaniste éclairé.

 

Aujourd’hui, je suis orphelin, j’ai perdu mon tuteur, celui qui me montrait la voie et la lumière.

Georges, ne t’interroges plus : oui, les gens t’aimaient, toi qui leur a tant donné.